Côté communication, CGI excelle à prononcer des promesses et des déclarations de bonnes intentions, mais malheureusement peu respectées et ajustées au gré des résultats financiers permettant d’assurer « une bonne rentabilité de l’entreprise au profit de notre actionnaire ».
De nouveaux embauchés et un grand nombre de salariés, nous remontent leur déception et désillusion face aux promesses faites sur la politique sociale de CGI, vendue par notre Direction comme « l’une des plus attractives » du secteur avec :
- Un Télétravail de 3 jours par semaine
- Une rémunération « confortable »
- Un partage des bénéfices, notamment au travers du PPP
- Une trajectoire de carrière bien tracée et sûre
- Le respect de l’humain et l’égalité professionnelle
- Des moyens de formation conséquents
Etc…
La réalité chez CGI est bien différente. Quel crédit peut-on donner à ces promesses ?
- Un accord télétravail suspendu pour satisfaire le Canada ; pire encore, pour laisser entendre que c’est l’unique moyen de staffer tous les salariés en intermission
- Peu, voire pas d’augmentation, malgré des bénéfices record, même en temps de crise, nuisant ainsi au pouvoir d’achat des salariés
- Un PPP rarement distribué, condamnant les salariés à une dégradation constante de leur niveau de vie
- Une politique de staffing assumée pouvant ne pas respecter le profil et les contraintes personnelles des salariés
- La persistance d’un plafond de verre pour des salariées qui peinent à progresser
- Des moyens de formation toujours en baisse, avec un « rabotage » drastique et assumé de 30 % du budget 2025
- Etc…
Signer à tout prix n’importe quel accord pour faire plaisir à notre Direction n’est pas dans notre ADN surtout quand ça n’est pas dans l’intérêt des salariés.
Alors, ne vous faites plus avoir – Votez pour vous : votez CFE-CGC
Du 3 au 10 juin, votez et faites votez CFE-CGC afin de forcer CGI à respecter ses promesses !